SHABADABADA
3 participants
Page 2 sur 20
Page 2 sur 20 • 1, 2, 3 ... 11 ... 20
Re: SHABADABADA
Dans la chambre sans bruit
La nuit nous faisons route.
Amoureux solitaires
Sans regarder derrière.
Nous fuyons tous les deux,
Tu me dis qu'on est fou,
Alliés, là dans l'ombre,
Tu éclaires
Dans les draps de satin noir
Noires étaient nos nuits blanches.
Toi tu m'ouvrais la voie,
Moi je cambrais les hanches.
(Damien Saez, Clandestins)
La nuit nous faisons route.
Amoureux solitaires
Sans regarder derrière.
Nous fuyons tous les deux,
Tu me dis qu'on est fou,
Alliés, là dans l'ombre,
Tu éclaires
Dans les draps de satin noir
Noires étaient nos nuits blanches.
Toi tu m'ouvrais la voie,
Moi je cambrais les hanches.
(Damien Saez, Clandestins)
Re: SHABADABADA
Tu pourras bien saigner mon cœur
Jusqu'au cœur de mon âme
Pour y planter la lame
Tu pourras bien Betty
Ouais tu pourras
Oui déchirer ma chair
Sur la peau en lambeaux
Allez de port en port
Me boire jusqu'à la lie
(Damien Saez, Betty)
Jusqu'au cœur de mon âme
Pour y planter la lame
Tu pourras bien Betty
Ouais tu pourras
Oui déchirer ma chair
Sur la peau en lambeaux
Allez de port en port
Me boire jusqu'à la lie
(Damien Saez, Betty)
Re: SHABADABADA
Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s’imaginer
En voyant un vol d’hirondelles
Que l’automne vient d’arriver ?
(Jean Ferrat, La Montagne)
Comment peut-on s’imaginer
En voyant un vol d’hirondelles
Que l’automne vient d’arriver ?
(Jean Ferrat, La Montagne)
Re: SHABADABADA
Ami, prends ma lanterne car j’ai perdu ma flamme,
mon amour est partie,
elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide,
elle a fait des fertiles des averses,
l’aride.
Et l’horreur du monde n’est rien en comparaison
à ce que l’amour fait à ceux qui dans l’union
pensent oublier un peu qu’on est triste ici-bas,
et qu’ici solitude
est le dernier repas.
(Damien Saez, Putains, vous m'aurez plus)
mon amour est partie,
elle a jeté mon âme à bouffer au néant me laissant le cœur vide,
elle a fait des fertiles des averses,
l’aride.
Et l’horreur du monde n’est rien en comparaison
à ce que l’amour fait à ceux qui dans l’union
pensent oublier un peu qu’on est triste ici-bas,
et qu’ici solitude
est le dernier repas.
(Damien Saez, Putains, vous m'aurez plus)
Re: SHABADABADA
Putain ma vie, comment t'as pu passer comme ça
Putain que j'ai rien vu, que c'est déjà la croix
Que j'ai le sentiment de n'avoir rien vécu
Que de tuer le temps, d'avoir juste aperçu
Le bonheur d'un instant, d'un quelque amour d'un soir
Dont je me souviens même plus, putain c'est le trou noir
(Damien Saez, Putain ma vie)
Putain que j'ai rien vu, que c'est déjà la croix
Que j'ai le sentiment de n'avoir rien vécu
Que de tuer le temps, d'avoir juste aperçu
Le bonheur d'un instant, d'un quelque amour d'un soir
Dont je me souviens même plus, putain c'est le trou noir
(Damien Saez, Putain ma vie)
Re: SHABADABADA
A la fleur de mes nuits
Aux amoureux dans l'incendie
A tes yeux qui salivent
A ces choses qui arrivent
Aux horizons du soir
Pourquoi pas à l'espoir
A ces vins qui tiennent chaud
A nos ivres, aux bateaux
Au plaisir du désir
De tout quitter sur un soupir
Aux adieux, aux toujours
Aux promesses, aux amours
Aux noirceurs à nos cœurs
Aux lueurs, à nos peurs
A ton cœur fatigué
A nos travers de liberté
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
(Damien Saez, Les Fils d'Artaud)
Aux amoureux dans l'incendie
A tes yeux qui salivent
A ces choses qui arrivent
Aux horizons du soir
Pourquoi pas à l'espoir
A ces vins qui tiennent chaud
A nos ivres, aux bateaux
Au plaisir du désir
De tout quitter sur un soupir
Aux adieux, aux toujours
Aux promesses, aux amours
Aux noirceurs à nos cœurs
Aux lueurs, à nos peurs
A ton cœur fatigué
A nos travers de liberté
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
(Damien Saez, Les Fils d'Artaud)
Re: SHABADABADA
Si je suis le drapeau du peuple résistance
De toutes le nations, je suis l’enfant de France
Des médias corrompus et le peuple à la rue
Au monde des marchands toujours qui prostitue
Des pouvoirs qui n’entendent jamais que la violence
Sont bien tristes aujourd’hui, oui les rues de ma France
(Damien Saez, L'Enfant de France)
De toutes le nations, je suis l’enfant de France
Des médias corrompus et le peuple à la rue
Au monde des marchands toujours qui prostitue
Des pouvoirs qui n’entendent jamais que la violence
Sont bien tristes aujourd’hui, oui les rues de ma France
(Damien Saez, L'Enfant de France)
Re: SHABADABADA
Me revient en mémoire aux sanglots de l'hiver
Toi la fille des bateaux, la fille de militaire
De cette époque morte où les gens savaient lire
Oui toi la littéraire qui m'apprit à écrire
(Damien Saez, Châtillon-sur-Seine)
Toi la fille des bateaux, la fille de militaire
De cette époque morte où les gens savaient lire
Oui toi la littéraire qui m'apprit à écrire
(Damien Saez, Châtillon-sur-Seine)
Re: SHABADABADA
Soyons le poing de ceux sans arme qui n’ont que le cœur de l’humain
De ceux-là qui n’ont que leurs larmes pour redessiner leurs destins
Soyons combattants du malin, des univers collaborant
Soyons le ruisseau du chemin, soyons le cœur du résistant
Liberté (x4)
(Damien Saez, Liberté)
On a pas un bonus quand le mot apparaît dans le titre ?
De ceux-là qui n’ont que leurs larmes pour redessiner leurs destins
Soyons combattants du malin, des univers collaborant
Soyons le ruisseau du chemin, soyons le cœur du résistant
Liberté (x4)
(Damien Saez, Liberté)
On a pas un bonus quand le mot apparaît dans le titre ?
Re: SHABADABADA
Tu peux faire ta prière
J'ai fini de jouer.
Viens voir dans le désert
Aux mirages éclatés.
Pour le mal
Pour le mal
Le clean et puis le sale,
Le tendre et puis le mal
Qui ne s'arrête pas,
Je serai avec toi ;
La clef et puis la chaîne
Sous le chant des sirènes,
À chacun de tes pas
Je serai avec toi
(Damien Saez, Comme une ombre)
J'ai fini de jouer.
Viens voir dans le désert
Aux mirages éclatés.
Pour le mal
Pour le mal
Le clean et puis le sale,
Le tendre et puis le mal
Qui ne s'arrête pas,
Je serai avec toi ;
La clef et puis la chaîne
Sous le chant des sirènes,
À chacun de tes pas
Je serai avec toi
(Damien Saez, Comme une ombre)
Re: SHABADABADA
Marguerite c’est mes nuits noires c’est mes nuits rouges c’est
mes nuits blanches
c’est comme un train oui qui s’égare mais qui s’arrête pas dans
les gares
c’est la luciole au fond des nuits
c’est comme rouler sans le permis
Marguerite c’est pas la bonne
mais putain qu’elle est bonne
presque aussi bonne que Marie
en un peu moins putain aussi
j’en ferais bien ma religion
j’en ferais bien mon horizon
c’est sûr que j’peux mourir demain
tant qu’elle m’habite entre ses reins
(Damien Saez, Marguerite)
mes nuits blanches
c’est comme un train oui qui s’égare mais qui s’arrête pas dans
les gares
c’est la luciole au fond des nuits
c’est comme rouler sans le permis
Marguerite c’est pas la bonne
mais putain qu’elle est bonne
presque aussi bonne que Marie
en un peu moins putain aussi
j’en ferais bien ma religion
j’en ferais bien mon horizon
c’est sûr que j’peux mourir demain
tant qu’elle m’habite entre ses reins
(Damien Saez, Marguerite)
Re: SHABADABADA
New York a mis son manteau blanc
Et moi j'ai rangé mes couteaux
Un jour tu sais tu reviendras
Pour un café ou quoi que ce soit
Arrête de délirer enfin
Tu sais qu'elle ne reviendra pas
Que la forêt a pris le feu
Puis que l'amour a dit adieu
11 septembre au gré des cendres
Le monde en pleurs pour le Center
Et moi qui pleure pour mon amour
Je sauterais bien du haut d'une tour
Bien sur la mienne est fille unique
Mais elle aurait le goût du ciel
Elle aurait le goût des tragiques
Des meurtrières, des meurtrières
(Damien Saez, Les Meurtrières)
Et moi j'ai rangé mes couteaux
Un jour tu sais tu reviendras
Pour un café ou quoi que ce soit
Arrête de délirer enfin
Tu sais qu'elle ne reviendra pas
Que la forêt a pris le feu
Puis que l'amour a dit adieu
11 septembre au gré des cendres
Le monde en pleurs pour le Center
Et moi qui pleure pour mon amour
Je sauterais bien du haut d'une tour
Bien sur la mienne est fille unique
Mais elle aurait le goût du ciel
Elle aurait le goût des tragiques
Des meurtrières, des meurtrières
(Damien Saez, Les Meurtrières)
Re: SHABADABADA
Entre les fois et les bons dieux
Entre nos crimes et puis nos cris
Et c’est fini les infinis
Entre la cuillère et puis la drogue
Sur les boulevards vont nos pirogues
Entre nous deux
Entre les feux
Entre les non dits de tes yeux
(Damien Saez, Faut s'oublier)
Entre nos crimes et puis nos cris
Et c’est fini les infinis
Entre la cuillère et puis la drogue
Sur les boulevards vont nos pirogues
Entre nous deux
Entre les feux
Entre les non dits de tes yeux
(Damien Saez, Faut s'oublier)
Page 2 sur 20 • 1, 2, 3 ... 11 ... 20
Page 2 sur 20
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|